"Si en son temps Paris valait bien une messe, on peut penser aujourd'hui et en cette période de voeux que le combat du sable coquillier en baie de Lannion et sa biodiversité valent bien une grâce présidentielle !
On peut supposer que si sur certains grands évènements internationaux, impuissance et incantations sont de règle, ici sur ce décret Macron, il est du pouvoir du Président Hollande de l'abroger sans qu'il soit nécessaire de réunir l'ONU. L'espoir est un emprunt fait au bonheur."

C'est à partir de cette idée que Patrice, l'un des adhérents d'Eau et Rivières très actif sur ce dossier a pris sa plus belle plume pour écrire cette lettre ouverte au Pdt de la République

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